lundi 20 août 2018

Jacqueline Lepeu, d'un rivage à l'autre


Jacqueline Lepeu d'un rivage à l'autre



C'est avec le souffle de la passion que Jacqueline Lepeu se reveille chaque matin. 

Lorsqu'elle était plus jeune elle a étudié la peinture dans quelques ateliers. Tout cela est un peu loin maintenant et pourtant...

Dans son bel appartement de Cimiez, Jacqueline Lepeu a quelques jolis meubles, de belles robes, mais pardessus tout, elle a SES peintures...sa plus grande richesse... et les terrasses qui lui permettent de peindre. 

Il y en a de partout de ses oeuvres, de la cave au grenier et toujours laissées comme dans une exposition permanente dans toutes les pièces, parfois sur le sol, une chaise, le canapé peut importe, elles occupent l'espace, entièrement.

On le voit tout de suite, c'est son moteur la beauté, en elle, sur elle et dans ce qu'elle représente : une femme toujours coquette, maquillée, bien coiffée, toujours en marche, décidée et extrêmement vivante. Oui la peinture l'anime et lui fait briller les yeux.

Depuis quelques années déjà, elle observe.... Elle peint aussi ce qu'on lui envoie, avec des photos des pays qu'elle a visité autrefois, des rivages méditerranéens avec de belles architectures, des palmeraies, des soleils couchants sur les toits et des fleurs qu'elle a respirées sur son passage. 

Et puis il y a ces paysages qu'elle a près de chez elle, ceux qu'elle voit de sa terrasse parfois. Une lumière a changé et alors les beaux palais de cette large avenue qu'elle habite s'illuminent sous ses pinceaux. Elle peint avec la naïveté et l'impulsivité des enfants, comme une urgence, une envie soudaine. Ses contours sont tendres ainsi que ses couleurs... sauf lorsqu'une flemme ardente réveille soudain la jeune femme qui est au fond d'elle et qui vibre à travers ses pinceaux.

Elle est alors cette jeune femme romantique dont on voit la silhouette sur fond bleu qui semble rêver derrière sa fenêtre en regardant la mer.




Vue des terrasses de l'Edouard VII boulevard de Cimiez à Nice









Dar Mustapha Pacha cour centrale Alger


Hotel Régina villégiature de la Reine Victoria à Nice



Musée Matisse sous la neige (ex Villa Coconato) et jardin des arènes de Cimiez



mercredi 30 mai 2018

La fée Mathilde Oscar


La fée Mathilde Oscar

Quel que que soit notre univers, notre langue, le pays de Mathilde Oscar nous est accessible.

Il nous impressionne, nous laisse rêveurs, amusés ou mélancoliques mais il atteint inévitablement quelque chose de plus grand que nous pour peu que l'on se laisse porter. Quelque chose qui nous vient de notre âme d'enfant et qui parle de la vie, notre vie ... et celle de tout un chacun.

Avec poésie Mathilde Oscar nous entraîne alors dans ses contes et légendes extraordinaires.
Les sublimant par une mise en scène subtile, cette merveilleuse conteuse éclaire de sa grâce la beauté de ses modèles.
Telle une fée, elle leur insuffle un supplément d'âme qui est le reflet de sa propre lumière.
Moments captés, figés, de joie ou de douleur, les scènes de vie imaginées par Mathilde Oscar sont oniriques.

Ses photographies évoquent parfois avec humour des oeuvres picturales célèbres gentiment décalées.
D'autres seraient plutôt des références cinématographiques par la précision de leur mise en scène. Le décor y est soigné tout comme les costumes, et les modèles sont de véritables actrices sorties de l'univers fantastique de Tim Burton.

Au gré de ses fantaisies la fée Mathilde décide à chaque instant quelle sera sa prochaine histoire.

Avec une liberté de ton qui lui appartient elle tire les ficelles de son monde imaginaire. Ses marionnettes enchantées se mettent alors à danser autour d'elle selon ses caprices.

Espiègle, elle nous promène de la femme innocente à la femme fatale passant d'une extrême à l'autre au gré de ses fantaisies, explorant le monde féminin sous toutes ses facettes, le rendant presque aussi surprenant que cette artiste complexe aux multiples talents.

Sa démarche :


"Créatrice en tous genres, je fabrique et crée à l’infini. Artiste, Photographe, Directrice Artistique, Designer-Styliste, Scénographe… je crée au rythme de mes envies."


AUTEUR-PHOTOGRAPHE


Après des études en Histoire de l’Art et des années de pratique de la peinture, il est naturel que mon travail soit beaucoup plus pictural que photographique. Mon intention n’est pas de capturer l’instant, bien au contraire je le fabrique. Je crée une image de toute pièce et j’imagine une nouvelle histoire à chaque série.

Je suis une « storyteller », c’est-à-dire que ma spécialité est de raconter des histoires. De ce point de vue, je me différencie de la photo de reportage en ne laissant que peu de place au hasard, car tout est étudié en amont, chaque détail compte. Réussir à sortir de mon esprit tout un monde imaginaire, mon univers, m’oblige à réaliser intégralement tous les éléments qui le composent : accessoires, costumes, décors…, créés sur-mesure et « handmade » pour chaque photographie.

Un monde fabriqué, inspiré de tous temps et à la fois hors du temps et de tous médiums. Echapper aux règles tout en les suivant, ne remplir aucune case tout en m’y inscrivant, telle est ma vocation.


DIRECTRICE ARTISTIQUE


Directrice Artistique avant tout, mon champ d’action créatif est assez large et peut s’étendre à tous les domaines autour de l’Art.

DESIGNER


Je réalise sur-mesure mes propres costumes et accessoires pour mes shootings, c’est ce qui leur confère un caractère unique.













Expositions :


Depuis avril 2018 :
Yellow Korner (75 boutiques dans le monde) – WWW.YELLOWKORNER.COM

Depuis novembre 2017 :
Arte Suite, Workum (Hollande) – Exclusivity in Netherland

Août 2017 à février 2018 :
Galerie Odd, St Paul de Vence

Juin-juillet 2017 :
Atelier-galerie le 48, Vallauris

Août 2016 :
Hôtel de Mougins

Mai 2016 :
Festival Photo Mouans-sartoux – invitée d’honneur

Mai 2015 :
Palais des congrès, Grasse
Festival Photo Mouans-sartoux – élue prix du public

Avril 2015 :
Aéroport de Nice

http://mathilde-oscar.com/

lundi 28 mai 2018

Michele Carer, peintre coloriste figuratif






Michele Carer peintre coloriste figuratif

"J’ai une prédilection pour le sud, la Provence et l’Italie, la lumière sur les murs et les architectures, comme je les appelle. La lumière y joue avec comme sur une mosaïque. Je la transpose en couleurs. C’est cette traduction par la couleur, sa composition, qui, à mes yeux, provoquent l’émotion...."


Parachutée dans l'art de peindre enfant, Michele Carer ne s'était pas vraiment destinée à la peinture et a démarré sa vie professionnelle dans un domaine qui n'avait rien à voir avec l'art.

Quasi autodidacte car non issue des prestigieuses écoles des Beaux Arts, mais des cours par correspondance de l'école ABC de Paris, elle est remarquée pendant des ateliers en 1993. Encouragée avec enthousiasme lors de ces stages par des artistes reconnus tels qu'Arlette le More, Philippe Gautier, Michele Taupin et Claude Sauzet, elle s'impose peu à peu dans le milieu de l'art visuel.

Dorénavant, ses oeuvres figurent dans des collections particulières en France, en Allemagne, en Grande Bretagne, aux Pays-Bas, en Roumanie et aux Etats-Unis et éclaboussent de leur beauté le monde de la peinture.

D'origine parisienne, Michele Carer transmet à travers ses oeuvres son attachement à Paris mais aussi à la vie en Anjou, sa terre d'adoption, celle de ses villes et de ses habitants.

Egalement séduite par la méditerranée lors de ses voyages elle s'en inspire fréquemment dans le choix de ses couleurs et la brillance de la lumière qui inonde les toits des maisons et l'ensemble de ses toiles.

Tout en délicatesse, elle immortalise des fragments de vie de femmes, d'ici ou d'ailleurs.

Provençales, italiennes, femmes enfants, femmes rêvant ou riant, elles sont toutes simplement belles, avec la grâce de leurs gestes, leurs courbes harmonieuses et leurs accents chantant que l'on entendrait presque.

Les paysages, les marchés et rues des villages sont tout aussi féminins dans leur approche. Par petites touches légères et intenses à la fois.

Les couleurs, ni trop vives ni trop fades, se mêlent dans une harmonie d'une belle fluidité, avec des tons plus chauds lorsqu'elle évoque la méditerranée ou des nuances bleutées lorsqu'il s'agit de la région d'Angers.

Avec simplement quelques angles marqués de ci de là pour contraster leurs effets "kaleïdoscopes", admiratrice et sans doute inspirée par Cézanne et par certains artistes japonais (Masao Haijima, Kyosuke Tchinai), elle déconstruit les paysages et les objets.


Michele Carer a su allier l'esthétique et la sensibilité artistique à la rigueur d'une architecte qui construit son oeuvre avec des plans et des lignes structurées.

Cette combinaison en font une oeuvre délicieuse et accessible d'une belle simplicité. Elle nous touche par la démarche sincère et authentique, sans chichis ni effets, d'une artiste équilibrée projetant une belle sérénité. Et le résultat, en est tout simplement... émouvant !














Liste des expositions et prix

Expose depuis 1993

Dernières expositions personnelles
2006-08 Nantes (44)
2006 Thiais (94)
2009 à 2014 Chinon (37)
2014 Avrillé (49)
2017  Angers (49) et Nyons (26)
Dernières expositions de groupe
2006- 2010 Les Talents Avrillais (49)
2003 à 2010 Soulaire et Bourg (49)
2004 Thouars (86)
2004 à 2007 Chemillé (49)
2006 à 2010 Salon de la Mucoviscidose d'Angers (49)
2008 Les rendez-vous de l'art La Plaine sur Mer (44)
2009-2015 Biennale de Loudun (86)
2011Salon des Arts Dréanais (44) Saint André des Eaux
2016    Téléthon  de Noyal sur Vilaine (35)
            Salon d’Ablon sur Seine (91)
            Salon de Villeneuve le Roi (91)
2016 à 2018  Pernes les Fontaines ( 84)   
2016 à 2018  Séguret ( 84) 
Invitée d'honneur
2006 Salon de Thiais (94)
2016 Salon de Villeneuve le Roi (91)
Prix
1993 Prix des Lices Angers
1999 Prix de la ville de Sablé
2003 Prix de Shwalbach (Allemagne)
2004 Grand Prix de la ville de Chemillé
2004 Prix du salon de Soulaire
2004 Prix spécial du jury Trélazé
2006 Prix de peinture à l'huile Trélazé
2008 Prix de peinture à l'huile de Soulaire et Bourg
2016 Prix de peinture à l’huile d’Ablon sur Seine
Prix de la ville de Villeneuve le Roi
Expositions dans différentes galeries
Chinon (37) , Atelier 25 - Fougères (35), Art et Décoration - Avranches (50) Galerie Doublet - Angers (49), Côté Cadres - Sablé (72) Château de Villeneuve - Mougins (06), Art Prestige - St Remy de Provence (13), Galerie d'Art - Evangeline...
Actuellement : 
Côté Cadres , Galerie Bressigny ( Angers - 49), 
L’Art au Zénith (Nyons 26) 
Oeuvres dans des collections particulières dans différents pays en France, Allemagne, Etats-Unis, Grande Bretagne, Pays-Bas, Roumanie...

vendredi 25 mai 2018

Chez Annick Morize, on se sent tout de suite bien




Annick Morize
"Au bout du compte, l'oeuvre vit du regard qu'on lui porte." Pierre Soulage.

Chez Annick Morize, on se sent tout de suite bien.
 
Comme dans ses peintures, l'univers d'Annick est agréable, lumineux et sans que l'on puisse définir pourquoi on l'aime immédiatement.
L'esthétique qui s'en dégage et son atmosphère même sont empreintes de sérénité et de naturel. Rien de trop, ni de trop léger, ni de trop lourd, dans ce décor soigné, ni dans ses couleurs harmonieusement réparties.
De la même manière, quel que soit le thème abordé, les toiles d'Annick Morize ont la particularité de nous donner l'impression d'être "chez nous".
Comme dans une maison, qui nous semble familière.
 
Dans son atelier cependant quelques toiles bien rangées jouxtent d'autres oeuvres pèle-mêle, témoin d'un esprit plus rebelle.
Car c'est la nature profonde d'Annick Morize de nous surprendre.
 
Son oeuvre issue de la passion créatrice de la chroniqueuse qui témoigne, exprime également ce simple besoin de satisfaire ses envies, son bon plaisir, en se divertissant d'horizons sans cesse différents et de renouveau. 
En véritable exploratrice, elle s'inspire des paysages urbains, photographiant une scène de rue, un personnage, qu'elle reproduit dans ses oeuvres, utilisant le graphisme des rues de Lyon, des nouveaux quartiers, les reflets sur les façades en verre. Et puis soudain dans son immense production, un paysage avec des arbres en fleurs, le printemps qui  émerge, ou l'émotion des étangs de la Dombes ...
 
Quelle que soit la technique, huile sur toile, bois, collages... qu'importe. Son monde est aussi vrai et libre qu'elle.
 
Quand l'urgence de la création l'envahit, c'est dans son atelier qu'elle se sent bien. 
Elle jette alors au sol ses pinceaux et les toiles encore vierges et tel un rituel commence "sa danse autour de l'oeuvre" jusqu'à l'avènement.

Son parcours :
Annick Morize peint depuis l'enfance. Dans les années 80, elle suit des cours d'histoire de l' Art et d'Art Plastique à l'Université Paris 1.
A partir des années 2010, elle franchit un cap en se professionnalisant : elle est  inscrite à la Maison des Artistes et son travail est alors présenté dans plusieurs galeries d'Art.
Elle est exposée en solo à la galerie Lyonne de Kaolin à Oingt (69620) de 2009 à 2012, à la galerie communale de Charbonnières les Bains (69260) en 2013. La médiathèque d'Ecully en 2016.
Son travail est présenté avec d'autres artistes dans différents lieux, comme l'Espace Pictur'halle à Morestel (38510) en 2014, le château d'Anse (69480) en 2015, ou la galerie Vis'Art, 26 quai Romain Rolland, Lyon 5ème de 2014 à 2017.
Parallèlement, elle participe depuis 2008 aux salons de peintres lyonnais comme le salon de Printemps, l'Hivernal de Lyon, le salon des Indépendants, le salon de l'Ouest Lyonnais, et le 111 des Arts Lyon depuis 2010.
Annick Morize vit à Tassin la Demi Lune où se trouve son atelier. Ses oeuvres sont présentes dans de nombreuses collections privées en France, Allemagne et Suisse.
Sa démarche :
"Pourquoi peindre ? Quel peut en être l’intérêt pour les autres ?
Quand je commence une toile, je plante le décor d'une histoire  secrète. La peinture est comme un voyage introspectif où tous les sens sont en éveil. L’œil, le toucher du pinceau sur la toile, la caresse du couteau sur la peinture sont comme des gestes amoureux. L’odeur participe à l’ambiance, me voilà à mon affaire, je suis enfin libre dans la création. Je cherche à toucher l'autre dans ce qu'il a de sensible, espérant faire émerger une émotion.
Mes inspirations s'enchaînent, brisant ainsi mes habitudes. Après avoir développé le thème "l'âme des choses" sur  les intérieurs ou natures mortes, je peins des " paysages", parfois imaginaires. Puis en  2015, j'entreprends une série urbaine, plus particulièrement sur Lyon.
J'utilise mes photographies comme modèles et revendique ce témoignage journalistique. Chroniqueuse, j'observe notre époque.
En 2018 des balades me donnent l'envie de retranscrire à nouveau la nature. Le paysage est revisité à travers mes couleurs.
Mais "au bout du compte, l'oeuvre vit du regard qu'on lui porte." Pierre Soulage.








mercredi 23 mai 2018

Véronique Denis Kavalkas, iconographe


Veronique Kavlakas Denis, iconographe



«L'iconographe travaille dans le silence, dans la solitude et la prière, son unique but est de transmettre une image sacrée qui s'enracine dans la théologie et la spiritualité."




Quand elle n’était qu’une petite fille Veronique Kavlakas Denis dessinait. Qui a dit quelle ne devrait pas ? Ne pourrait pas ? Car aujourd’hui cette artiste contrariée prouve que son talent était reel.



Comme une revanche sur la vie qu’elle voulait se construire, l’artiste retourne au plus profond de ses racines et la reprend à zéro, comme une renaissance.



D’origine grecque, Veronique Kavlakas Denis a toujours admiré les jolies icônes quelle découvrait dans les églises orthodoxes de son enfance. Au fil des années, l’artiste qui sommeillait en elle s’est révélée jusqu’à aujourd’hui où sa foi religieuse et sa passion de l’art conjuguées en font une iconographe accomplie.



C’est un travail minutieux qui convient parfaitement à la personnalité rigoureuse et précise de Veronique Kavlakas Denis. Travailleuse acharnée, elle étudie sans relâche les principes et la technique de cet art divin afin de toucher au plus près l’essence même de son message.



Rien dans ce qu’elle délivre n’est laissé au hasard, car tout y a un sens d’une immense profondeur ! Que l’on soit croyant ou athée on ne peut qu’être touché par le désir de vérité de son oeuvre. Car c'est toute son âme qui est mise à nu dans ces figures sacrées. Pas seulement parce qu’elles représentent la bible et qu’elle l’a étudiée, mais comme en résilience.



Telle Jeanne d'arc sacrifiée sur le bûcher de la bêtise humaine, Veronique Kavlakas Denis renaît de ses cendres et nous livre un mystérieux secret… l’amour y est omniprésent et la beauté intemporelle aussi.

Biographie


Originaire de l’ile grecque de Rhôdes située dans le dodécanèse, île de la 7ème merveille du monde, le colosse, des chevaliers sur le chemin de Jérusalem et de l’acropole de Lindos, mes pas et ma curiosité d’enfant m’ont amenés à pousser la porte de belles églises grecques et de m’émerveiller devant la multitude de ces images que j’identifierai plus tard comme étant des icônes… ​Je me souviens que certaines de ces images étaient présentées à ces personnes qui fréquentaient les églises, icônes vénérées, icônes qui représentaient pour moi un mystère...

La vocation

Formée par une iconographe, restauratrice et enseignante, elle-même d’origine grecque, ancienne élève des beaux-arts et consacrée par l’église orthodoxe, l’écriture de l'icône allait être une révélation pour moi. Elle m’a permis de découvrir les techniques d’écritures byzantines de l’Icône Grecque, sa spiritualité, des symboles à la compréhension des couleurs de vêtements. J’ai décidé de créer mon propre atelier pour me rapprocher de ces merveilleuses icônes des églises de Lardos et de Lindos, au sud de l'île, deux villages, mes racines... terre de mes ancêtres..."